• Uune démarche inhabituelle.

    une démarche inhabituelle.

    une démarche inhabituelle.

    une démarche inhabituelle.

           Dans le but de satisfaire à la demande  des parents d'une petite fille, Minik et moi avons réalisé ce coffre à jouets d'un modèle original. Une foi fait, je me suis entendu dire qu'il ne pouvait pas satisfaire aux impératifs géographique de la chambre de l'enfant. Excuse pour ne pas dire franchement qu'il ne correspond pas à leurs attentes, ou chambre trop petite? en attendant, n'ayant pas de place pour lui dans le Camion je le propose à la vente. La petite fille me dira peut être un jour, qu'elle aurait bien voulu avoir une telle pièce dans sa chambrette.         En attendant, n'ayant aucune idée de prix, je vous invite à me faire part de vos propositions.
            Il n'est pas si grand avec ses 80 centimètres de haut, 60 dans sa profondeur et 1 mètre de large sculptures incuses.     

              


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  • le chateau de Fossenburg

        
     En ces temps difficiles pour notre jeunesse, qui, il est bon de le préciser, bouffe chez Mac truc alors que les parents payent la cantine ,et n'ont, pour la grande majorité d'entre eux, connu ni la faim ni le froid.
          Holà, il pête un câble le Dom. V'la ti pas qu'y va s'en prendre aux p'tits jeunes, qui, pour l'instant n'ont rien cassé (du moins si peu).
         Rassurez vous tout va bien, ou presque. Il se trouve simplement que Minik et moi tournons entre trente huit et trente neuf degrés sur le  joli thermomètre à lecture digitale.
         Ce n'est donc la fête à personne. Une simple envie de râler ! mais pas que.
         Vous ne pouvez pas savoir, puisque vous ne l'avez pas connu, excepté ce bon Lucckyozz qui aura été un temps son gendre. Je veux parler du matricule 185.133 pensionnaire de mai 1944 à mai 1945 des camps d' Auschwitz , Buchenwald et Flossenbourg. Avec mes, pratiquement 40° hier sur le coup de 15h et Minik qui me tannait pour que je la conduise à la pharmacie histoire de mettre encore plus de médocs dans le camion, j'ai eu une pensée pour Charles et ses amis, vous l'aurez compris, il s'agit là de feu mon beau père. 
          A plusieurs reprises je l'ai entendu raconter les sordides autant qu'inutiles appel à des heures impossible de la nuit. Les allemands dormaient pendant ce temps, se sont les kapos (d'autres prisonniers) qui étaient chargé de la mission. Sans doute au 15 août la brimade revêtait un petit air de fête pour peu que le tout puissant dans son infinie bonté ait bien voulu orner le ciel de tout ce dont il dispose en matière d'étoiles et autres galaxies, pas de chance pour les pauvres pensionnaires dans ce beau pays il neige d'octobre à juin. Petit détail pour nous mais pour eux ça devait faire beaucoup, la tenue du bon prisonnier était la même du 1 janvier au 31 décembre. Cliquez sur ce lien devrait vous aider à relativiser le regard que vous portez sur vos pauvres vies.   http://moulinjc.pagesperso-orange.fr/Camps/Textes/flossen.htm#  .Si vous avez encore le courage d'allez casser du mobilier dans votre fac, ayez une pensé émue pour les harkis négligemment oubliés sur les quais d'Alger avec familles et bagages. Pour les petits jeunes qui sont allés passer 27 mois dans le magnifiques pays qu'est l’Algérie. Pensez surtout à ceux rentrés en France avec les couilles dans la bouche (mortel dans cent pour cent des cas).

          Alors je pensais à Charles moi pour qui tout allait bien finalement. J'aurais très bien pu dire à Minik de demander un taxi ou faire appel à Yan notre neveu et presque voisin, pour descende à la pharmacie. Mais je pensais à ces types, pressés par le kapo de quitter le baraquement pour aller à la carrière ou à l'usine Messerschmitt. Jamais mes pieds n'avaient été aussi loin, mes chaussettes pesaient des tonnes, j'aurais pu ne pas les enfiler, mais j'ai pensé à vous les p'tits jeunes, mais surtout à Charles.   
     

      

          


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  •                          Billet désabusé d'un retraité souffrant de manière quasi                                     permanente du syndrome de monsieur Raynaud.
                                                (ceci est un titre)
              Le titre est un peu long, il offre de part sa longueur la possibilité de tout ranger dedans. J'aurais très bien pu ne pas vous faire savoir que je suis retraité! mais la plupart d'entre vous le savent déjà. J'ai bien failli écrire ''retraité désabusé'' en lieu et place de ''billet désabusé'', et je me dois de vous dire que je me pose encore, à l'heure ou vous me lisez, laquelle de ces deux formules est la mieux amène. Dire ''doigts blancs'' pour ''syndrome de monsieur Raynaud'' aurait fait à peine plus court pour au final me le faire dire ailleurs dans le texte.
            Je pourrais vous dire que si je prends le temps de vous écrire ce petit billet alors que le travail attend quelqu'un (moi) c'est pour ne pas avoir à affronter les +0° qu'il fait devant chez Domy à Chatenay Isère France...
            Et je n'irai pas par quatre chemins, je vais vous dire la vérité. Ce matin, sur le coup de quatre heure, je me suis retrouvé debout. Pensant ne rien avoir à faire d'autre que de satisfaire......    J'étais à un cheveu de me recoucher que la liste de ce qu'il me reste à accomplir m'est apparue avec en prime des lignes soulignées de rouge. N'écoutant que mon courage et fort de la plus belle des motivations, je revêtais mes nippes de travailleur non sans avoir au préalable soulagé ma vessie de la cause de mon réveil et mis de l'eau à chauffer pour un petit café, à moins que ce fut l'inverse.
              Il n'était pas envisageable de trouver une température clémente au sortir du Camion, la veille le ciel, d'une incroyable pureté avait sans doute entraîné le thermomètre dans les bas fonds. La météo loin d'être une science exacte, me confortait une nouvelle fois que les prévisions ne sont bonnes que pour les jours précédant. Les étoiles s'étaient fait la belle derrière les nuages mais, à en juger par l'herbe qui cassait sous mes chaussures, depuis peu.
              Bidouilles sur le net, bricolage autour d'un coffre à jouets d'un genre très spécial, je me retrouvais deux cafés plus tard et équipé pour les grands froids face au Master. Entre extérieur et garage c'était jouable...... avant que la pluie ne s'invite. me croirez vous si je vous dis que dix minutes après les premières grosses gouttes, j'avais les deux index blancs et douloureux. Un quart d'heure de plus et je ne sentais plus mes doigts à l'exception des pouces qui, allez savoir pourquoi sont toujours impeccables. Sauf à les passer sous l'eau chaude rien n'y fait, il aura fallu une heure pour réchauffer ce petit monde sauf l'index de la main gauche que d'anciennes blessures handicapent un peu plus.
               Peut être pensez vous que je n'ai qu'à attendre le 15 août pour faire les travaux sur le Camion? C'est à peine mieux et je ne suis pas le plus atteint, je connais des gens que ça ne quitte jamais. 
               Voila le début d'une mauvaise journée pour moi. J’espère qu'il en aura été autrement pour vous.
              PS: Je pourrais vous parler du HHO que je suis en train d'installer sur le Master. Ce sera dans la rubrique ''les Camions'' et un autre jour.     

               

                                      

                 


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